édito
À l’époque où les prises de position d’Hugues Panassié et de Charles Delaunay nourrissaient les polémiques sur le jazz, Sim Copans diffusait sur les radios françaises des disques venus des USA et inconnus en France, fidélisant des milliers d’auditeurs. Il aspirait à faire découvrir la culture américaine, essentiellement à travers la musique. Il parcourut également les routes de France et effectua nombre de conférences en Afrique noire et au Maghreb.
Pour le festival de jazz de Souillac, il fut déclencheur ; sa conférence, à Souillac en 1975, a été le terreau sur lequel est née l’association. L’influence de Sim Copans sur le festival est toujours perceptible aujourd’hui : les racines africaines du jazz, les mélanges de cultures, la conviction que le jazz est une musique populaire restent les jalons de chaque programmation.
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